Devant le refus initial des dirigeants du Racing, il reprend le Paris FC en D2, le rebaptise « Racing Paris 1 » et lui fait porter les couleurs du Racing, avec l'accord des dirigeants. Le club va passer quatre (difficiles) saisons à ce niveau, avant de profiter à la fin de la saison 2016-2017 de la réforme des championnats nationaux pour remonter en National 3 (ex-CFA 2)[43]. Pourtant ils sont capables du meilleur, comme lorsqu'ils remportent leur première victoire amicale contre Arsenal en 1946 (2-1), un exploit réédité l'année suivante (4-3)[a 4]. Redevenu amateur, le Racing fait son retour à Colombes, d'autant que le Parc est détruit en 1967[a 26]. Tout ce qu'il faut savoir sur le match Brétigny Foot vs Racing Paris de CFA 2 du (11 Octobre 2020) en direct : Résumé, statistiques, compositions et résultats - Besoccer Racing Paris s'était alors imposé à domicile sur le score de 2-0 en National 3 2018/2019 dans le cadre de la Groupe L - journée 20. Il est difficile de considérer que le Racing a pu cultiver au cours de son histoire un style de jeu particulier. C'est le député-maire de Neuilly-sur-Seine, M. Achille Peretti, qui a fait la demande au conseil fédéral de la FFF. Rebaptisée Racing Paris 1, le premier nom du club de Lagardère, et évoluant sans sponsor maillot à la suite du retrait de Matra, l'équipe termine finalement dix-neuvième, ne précédant au classement que le FC Mulhouse, à un point de la dix-huitième place qualificative pour des barrages occupée par Nice. En 1982, l'homme d'affaires Jean-Luc Lagardère décide d'investir dans le football dans le but de monter un second grand club à Paris aux côtés du Paris SG, membre de l'élite depuis 1974. Malgré le renfort de l'international Jean-Michel Larqué en fin de carrière en 1980, les Parisiens peinent pourtant à se mêler à la lutte pour la promotion, décrochée respectivement par Le Havre AC, le SM Caen, Fontainebleau puis le Red Star, vite revenu de DH[a 8]. Malgré ses investissements, Lagardère n'a pas obtenu les résultats escomptés et n'est pas parvenu à recruter un public. 2ème Rang: Mario Zatelli, Gusti Jordan, Maurice Banide, Victor Mestre (Dir), Henri Ozenne, Oscar Heisserer, Elie Rous (Entr), Raoul Diagne, Sandel (Doc) L'ancien gardien de but Régis Roch parvient à rétablir la situation et à sauver la place du club en National. Ce dernier est écarté dès la trêve hivernale et remplacé par l'ancien international français Stéphane Paille, le quatrième entraîneur en quelques mois. Toutefois, dans les années 1930 à 1960, alors que son équipe fait partie des meilleures du pays, le Racing Club de Paris conserve certains aspects typiques : de nombreuses vedettes et joueurs internationaux, notamment français ; un style de jeu brillant et offensif, au point d'être parfois jugé trop risqué par certains observateurs ; des résultats en dents de scie contrariant quasi-systématiquement ses ambitions en championnat[56]. Il est le seul Racingman à avoir dépassé la barre des cent buts[93]. L'équipe remporte également cette saison-là la Coupe de France. Sous l'occupation allemande, Émile Veinante, joueur du Racing depuis 1929 et international français, se reconvertit comme entraîneur. Les 20 000 sont dépassés en 1958-1959 et 1960-1961 et le Racing conserve la meilleure affluence saisonnière de 1955-1956 à 1963-1964. Au niveau sportif, le club annonce notamment vouloir renforcer encore son école de formation, vue comme le « socle du club », ramener dans un premier temps l'équipe fanion en championnat National, créer une section féminine, tout en maintenant le caractère social de son association support[41]. L'équipe du Racing, désormais dirigée par René Hauss[a 11], remporte le titre de champion de deuxième division en 1985-1986, confortant ainsi les options de Lagardère. En championnat, le record date du 17 septembre 1950, quand le Stade rennais se présente en leader au Parc des Princes devant 39 448 spectateurs[106]. En dehors de ces deux périodes, le club se trouve sous la tutelle plus ou moins marquée du club omnisports Racing Club de France. Il en intègre la direction en 1966 et le fait renommer temporairement RCP-Sedan, tandis que le RC Paris, qui a perdu son statut professionnel, est repris par le RC de France[a 3]. Le Racing est un monument de la capitale, soutenu par le RCF et ses nombreuses équipes d'amateurs et de jeunes (jusqu'à soixante-dix, dont quatorze équipes seniors[a 1]). Trop affaibli financièrement, le club ne peut remonter un effectif à la hauteur des années précédentes. FIL INFO. Hors finale, les deux meilleures affluences de l'histoire du club sont réunies pour d'autres matchs de Coupe de France, face à un autre des grands rivaux du club à l'époque : le Lille OSC. Voir l'objet. 1932: Le club est rebaptisé Racing Club de Paris. Le club champenois remporte une victoire dont Albert Batteux, le capitaine (et futur entraîneur rémois), confesse qu'elle est particulièrement chanceuse[o 6]. Le Racing ne se remet pas de cette mésaventure aussi aisément qu'en 1953. En 1953-1954, plus de 60 000 spectateurs assistent notamment à la réception du Racing à White Hart Lane, le terrain des Londoniens de Tottenham[o 2]. Il a fait remonter le club en Division 3, en 1970 puis une nouvelle fois en 1973. - 1974 : Relégation au niveau régional. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici. Le club fait figure de favori et les premiers mois donnent raison aux observateurs, puisque le Racing pointe au 2e rang en février. Plusieurs joueurs du club ont porté les couleurs de la France lors d'une coupe du monde : André Tassin, Marcel Capelle, Alexandre Villaplane, Edmond Delfour et Émile Veinante en 1930, Edmond Delfour et Émile Veinante en 1934, Raoul Diagne, Auguste Jordan et Émile Veinante en 1938, ainsi que Roger Marche en 1958. Communiqué du Président suite à l’arrêt des compétitions et sur le complexe Yves-du-Manoir, Parce que le football se joue également au féminin…, Sarah Boudaoud (GPSO 92 Issy) à la rencontre de nos U13 Féminines, Balamine Savane : « Je veux aider le Racing à monter en National 2 », Dalil Bouchakour et Farès Rahal : « On construit des souvenirs communs à travers le club ». Le club doit abandonner son statut professionnel en 1992[o 2]. Plombé par des déboires financiers chroniques, le club replonge dans l'amateurisme dont il n'est pas sorti aujourd'hui. Direct. Résumé Matchs Pronos Joueurs Historique des confrontations depuis 2017. En 1982, l'industriel Jean-Luc Lagardère cherche à reprendre le club. Le Racing ne trouve pas les fonds nécessaires afin de rester en CFA et la DNCG envoie ce club historique en CFA2 pour la saison 2010-2011[37]. Matra se retire et Jean-Louis Piette, un fidèle de Lagardère, prend la succession de ce dernier. Les Parisiens ne parviennent cependant pas à remporter le championnat, échouant tout près à deux reprises. Mais il est probable que l'équipe du Racing a été fortement impactée, comme toutes les autres, à l'exemple de la mort d'André Puget[7], un des seuls internationaux du Racing d'avant guerre. Les objectifs sont ambitieux, mais leur réalisation passe par une promotion dans l'élite. Malgré des moyens relativement importants et une politique de formation saluée, le club ne retrouve pas la Division 2, et pire, est relégué en CFA en 1995. L'équipe première, qui n'a pas fusionné avec celle de Sedan contrairement au souhait de son ancien président, repart en championnat de France amateur, le troisième échelon du football français. L'année suivante, le Racing est battu en demi-finale de la Coupe Manier, réservée aux clubs français n'alignant pas plus de trois joueurs étrangers, par le Club français[4]. Alors que l'intérêt du club omnisports semble faiblir, un repreneur ambitieux se manifeste, Gilles Dumas, qui redonne au club le nom de « Racing Club de Paris » et en augmente considérablement le budget grâce à des sponsors de poids[31]. Le football passe au second plan. Les saisons suivantes sont plus difficiles. ), ne terminent qu'au dixième rang en 1963 malgré une attaque encore efficace (la meilleure du championnat avec 80 buts). En 1999, les nouveaux dirigeants du club de football espèrent pouvoir y construire une « Cité du foot », où seraient rassemblés un nouveau stade ainsi que ses centres d'entraînement et de formation. Taillandier ; Lelong, Melloni, Lagadec ; Bodin, Kula ; Heutte, Marcel, Ibrahim, van Sam, Magny. TENNIS RCF – SAUSSURE 154, rue de Saussure - 75017 PARIS Tel : 01 47 63 99 26 E-mail : tennis@rcf.asso.fr SIÉGE SOCIAL EBLÉ 5 Rue Eblé - 75007 PARIS Tel : 01 45 67 55 86 Historique Le scénario de la saison 1961-1962 est très différent mais tout aussi frustrant. De nombreux joueurs professionnels ont de fait réalisé tout ou partie de leur formation au Racing, parmi lesquels, depuis les années 1990, William Gallas (84 sélections en équipe de France), Stéphane Dedebant, Stéphane Porato, l'international marocain Walid Regragui, Grégory Proment, Brahim Hemdani, Bruno Cheyrou (3 sélections), Louis Saha (20 sélections), Zoumana Camara, Benoît Cheyrou, l'international algérien Karim Ziani, Jérémie Aliadière, Franck Béria, Michaël Ciani[99]. Auguste Listello puis Jacquemet n'ayant pas su empêcher la relégation, l'ancienne vedette de l'équipe Gusti Jordan effectue son retour pour prendre en main l'équipe reléguée[a 5]. Plusieurs facteurs empêchent le projet : les règlements n'autorisant pas la possibilité de jouer alternativement dans deux stades, l'opposition de la fédération, et l'impossibilité pour deux clubs de ligues régionales distinctes de fusionner[a 1]. L'annexe « Lucien-Choine » du stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes. Promotion avec 7 AdQ, 6 BA et 7 non labellisés, Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé «. La situation financière du club s'est gravement et rapidement détériorée[a 1], les affluences étant en chute libre (environ 6 600 de moyenne en 1964-1965 et 4 300 en 1965-1966, contre 16 500 l'année de la relégation[25]). Marcel Salva, Jean-Claude Samuel et René Vidal, André Philippot et Pierre Ponsetti sont recrutés en Algérie : les « Pieds-Noirs » du Racing, auxquels s'ajoute Lucien Jasseron, venu du Havre, permettent au Racing de finir à la sixième place. Jordan et l'Espagnol Ramón Zabalo disputent les deux finales au milieu, tout comme Oscar Heisserer et Mathé en attaque[97],[98]. Jean-Eudes Aholou : "Ça va se jouer au mental" On ne sait pas avec certitude l'origine de ce surnom, sinon que les « pingouins » sont dans le monde rugbystique un sobriquet donné aux footballeurs, qui ne se servent pas de leurs bras[58]. En juin 2011, Hervé Street, un chef d'entreprise, est élu à la tête de l'association à la place de Jean-Michel Jaquot[76]. En 1966, le club de football abandonne le professionnalisme et repasse sous l'égide du Racing Club de France dès le mois de juillet[a 6]. Quelques jours plus tard, le 13 mai, l'offensive de Sedan entraîne l'« étrange défaite » française, et l'armée allemande occupe Paris le 13 juin. Le championnat de France USFSA, initialement réservé aux clubs parisiens, s'ouvre à partir de 1899 aux clubs de province, dans le cadre d'un championnat en deux phases. Les Nîmois s'inclinent en déplacement contre le Stade français (1-0) et le Racing l'emporte face à Monaco (2-1). En fournissant votre adresse e-mail, vous acceptez de recevoir notre newsletter. Pibarot applique au Racing ses principes de jeu novateurs (défense en ligne, participation de chacun au jeu offensif) avec un certain succès. Mais le Racing termine dernier de National 1 en 1994-1995[a 15] et se trouve relégué. Les Racingmen semblent bien mériter leur statut de favoris : la première période les voit dominer largement Reims et toucher deux fois les montants par Gudmundsson et Tessier. Pour occuper le banc du RP1, Lagardère recrute Alain de Martigny, ancien entraîneur du Stade brestois et adjoint du sélectionneur français Michel Hidalgo pour la Coupe du monde 1982. Situé au cœur du Bois de Boulogne, le Lagardère Paris Racing fait partie des plus grands et des plus beaux domaines sportifs de la capitale. Ces deux derniers ne restent qu'un an cependant. Lagardère va alors chercher le Portugais Artur Jorge, qui vient tout juste de remporter la coupe d'Europe des clubs champions avec le FC Porto. Mais les Parisiens ne peuvent rien faire face au Rapid Vienne de Gerhard Hanappi, vainqueur des deux rencontres. Sa mission est de mener au sommet le Matra Racing, dont l'effectif est composé de nombreuses vedettes[a 5]. Il fait monter les Parisiens en Division 3 (puis en National) à trois reprises, en 1978, 1994 et 1997. Après une saison 1999-2000 plus terne, l'ambitieux Gilles Dumas le remplace par Jean-Michel Cavalli, promu en D2 avec le Gazélec Ajaccio l'année précédente. Plombé par les résultats sportifs du club, le projet ne voit pas le jour. Malgré l'importance des sommes investies, l'équipe ne rencontre de succès ni sportif ni populaire. Djabour est en 2012 l'adjoint de Wallemme à l'AJ Auxerre. Malgré la qualité de son effectif sur le papier, le Racing, trop souvent battu, termine onzième (sur quatorze) en 1934. Le vrai remplaçant de Baron est finalement trouvé en mai 1953 en la personne d'Auguste Jordan : en douze saisons sous le maillot ciel et blanc, cet ancien footballeur autrichien naturalisé français a remporté quatre des cinq Coupes de France au palmarès du Racing, avant d'entamer après-guerre une carrière d'entraîneur en France, notamment au Red Star et à l'Olympique de Marseille[a 5]. En quart, le Racing retrouve l'Olympique lillois dans un nouveau match au sommet. La rencontre est étriquée face à une équipe très défensive, mais le Racing l'emporte tout de même (1-0), grâce à un but de son avant-centre Roger Couard[o 3]. Prédictions et Conseils de Paris de Football. En 1929, Jean-Bernard Lévy, 29 ans, devient le président de la section football. 24 avril 2021 | Stade Lucien Choine, Colombes. Le Racing ne parvient cependant pas à conserver son titre de champion en 1936-1937 : handicapés par une première moitié de saison très moyenne, les Parisiens reviennent malgré tout sur la tête, mais une défaite lors de l'avant-dernière journée sur le terrain du Red Star les condamne au troisième rang, à un petit point de l'Olympique de Marseille, champion, et du FC Sochaux-Montbéliard, deuxième[11]. Impossible, et Roubaix l'a bien vu », « pratique un football chatoyant, de haut niveau, très prolifique où le spectacle va de pair avec le réalisme ». Il est finalement promu en 2004, mais plonge bientôt dans une nouvelle crise financière[a 6]. Jean-Eudes Aholou : "Ça va se jouer au mental" by RC Strasbourg Alsace . En 1943-1944, le régime de Vichy interdit le professionnalisme et organise un championnat entre sélections régionales. Le Racing, à travers Femmes de Foot, soutient l'équithérapie. Après une honnête carrière de joueur professionnel, ce dernier démarre au Racing une carrière de technicien : il reste plus de vingt ans au club, d'abord six ans comme manager et entraîneur de l'équipe première, ensuite comme responsable du centre de formation du Matra Racing, et pendant 2 saisons adjoint d'Artur Jorge puis de nouveau comme manager de 1992 à 2000. 01 jours 10 hrs 02 mins 45 secs. Le nouveau club fait son retour dans l'élite, tandis que les investissements énormes de l'ambitieux président permettent le recrutement de plusieurs joueurs vedettes à partir de 1985-1986. Même si l'exploit n'est pas une première en France, la performance ayant été effectuée pour la première fois par le FC Sète deux ans plus tôt, le doublé est historique pour le club. La saison 1963-1964 démarre sous de bons auspices, le RC Paris étant invité à participer à la coupe des villes de foires, l'ancêtre de la Coupe UEFA. Parce que le football se joue également au féminin... « Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous » disait Paul Eluard.... Les inscriptions pour les détections 2021/2022 pour les séniors, jeunes et féminines sont dorénavant ouvertes.... 8 mai 2021 | Stade Jean-Marc Salinier, Les Ulis, © 2021 Racing Club de France Football | Création : Racing Club de France Football |. En 2010, Azzedine Meguellatti, un entraîneur passé par différents clubs d'Île-de-France, est nommé manager général[86]. Il crée donc le RC Paris, un club professionnel lié au RC de France mais qui n'en reste pas moins relativement autonome. Il ne peut empêcher la relégation du Racing en Division 2 mais fait remonter l'équipe immédiatement et maintient par la suite son équipe dans la première moitié du classement. Le Racing retrouve le National en 1997 et dispute la montée en D2 en 1998-1999, échouant à quelques points près[a 16]. À domicile devant 40 000 supporters, les Racingmen ne parviennent pas à s'imposer, mais à Geoffroy-Guichard, ils créent la surprise, arrachent leur ticket en D1 et envoient les Verts en D2 (0-2)[a 9]. L'entraîneur Kimpton, recruté par le FC Rouen, est remplacé par Ely Rous. En 2004, le club remporte sa poule de CFA et le président doit s'y prendre à plusieurs fois pour faire valider par la DNCG la promotion sportive en National[65]. Il subit la relégation administrative du club en 2000. Buzier voit l'équipe première manquer de peu la montée en D2 en 1999. En 1946 et 1948, le Racing subit par ailleurs la loi des Lillois revanchards en Coupe de France, au stade des quarts de finale, après des confrontations disputées[o 1],[o 4]. Et comme de nombreux autres clubs du championnat, il fait appel à un homme venu du pays fondateur du football : l'Angleterre. Le club repart en National 2 mais voit le retour de Jean-Marie Lawniczak, nommé « manager général » après un passage à Besançon. Malgré les résultats de la saison passée, il choisit de quitter le club à la suite de différents personnel avec le manager en place, c'est dans ces conditions qu'Armand Bouzaglou, ancien joueur du club, est débauché du club voisin de l'ES Colombienne en reprenant le flambeaux. Lagardère rachète alors seul le Paris FC, qui accuse une dette de plus de quatre millions de francs[o 2], le rebaptise « Racing Paris 1 » et lui donne les mêmes couleurs bleu ciel et blanc que son voisin, avec l'accord de ses dirigeants. Vingt-neuf ans plus tard, le groupe champion de France est composé des joueurs suivants : Edmond Delfour (30 matchs joués, 4 buts), Auguste Jordan (30, 3), l'Anglais Fred Kennedy (29, 19), Raoul Diagne (28), Émile Veinante (27, 4), Maurice Banide (26), Roger Couard (22, 23), Francis Roux (22), Robert Mercier (18, 8), Roland Schmitt (18), Jules Mathé (12, 7), Henri Ozenne (11, 8), Maurice Dupuis (11), Jean Gauteroux (8), Rodolphe Hiden (8), le Yougoslave Aleksandar Živković (7, 5), Bohé (4, 1), Branca (4), Marcel Galey (3), Raymond Couard, le frère de Roger, et Henri Fournis (1)[95]. En tête de son groupe en 1920, le RCF est battu par les Audoniens en finale. Le président Lévy obtient finalement des dirigeants omnisports l'autorisation de sauter le pas, mais la section football doit s'émanciper du RCF (tout en restant sous sa tutelle) en devenant une association autonome sous un nouveau nom. La page Matra se tourne sur un échec, marqué par 300 millions de francs investis en pure perte[30]. Ils remportent le titre de champion de Paris la saison suivante, au cours de laquelle ils ne sont éliminés qu'en 16e de finale de coupe de France par le futur vainqueur, l'Olympique lyonnais ; puis font de nouveau l'ascenseur en 1974. Créée en 1896, la section football du Racing Club de France dispose d’un palmarès exceptionnel. Pourtant la mayonnaise prend mal et les résultats sont décevants au regard des investissements consentis, puisque le RCP n'est que treizième[a 6]. Pourtant l'équipe parisienne ouvre le score trois minutes plus tard par Lhottka, mais Sète égalise peu après et remporte le match en prolongation (1-3)[o 1]. Seul leur relative inconstance empêche les Parisiens de remporter des titres. Face aux oppositions importantes au sein du club, Piette quitte son poste et le club de football revient dans le giron du RCF. VS. Rechercher. Parmi les vainqueurs de trophées, la composition parisienne en finale du championnat de France USFSA de 1907, le premier trophée d'importance remporté par le Racing, est la suivante : André Trousselier comme gardien, Pierre Allemane (capitaine) et Victor Sergent en défense, les Anglais A. Tunmer, H. Jordan et le Français Goubeault au milieu, enfin André Puget, les Anglais J. Jordan et Astley, le Suisse Raoul Matthey et René Fenouillère en attaque. Principal club parisien depuis le déclin du Red Star après guerre, le club fusionne en 1966 avec Sedan pour devenir le Racing Club de Paris Sedan jusqu en 1970. Les Racingmen signent cette année-là leur retour en coupe de France. Le Racing frôle la relégation en deuxième division en 1951 (treizième, à deux points du premier relégable Sète), en 1952 (quatorzième, à quatre points du premier relégable Marseille) et n'y échappe finalement pas en terminant en dix-septième position en 1953, malgré les neuf internationaux de son effectif (l'inter brésilien Yeso Amalfi, le gardien de but René Vignal, le demi Henri Arnaudeau, les anciens Roger Lamy et Roger Gabet, le Marocain Abderrahman Mahjoub ou encore le jeune buteur Thadée Cisowski). Dès lors, le Racing semble rentrer dans le rang d'un football français encore amateur et très régionalisé. En 1975, alors que l'équipe est retombée en DH, il laisse sa place à Jean-Marie Lawniczak. Ce qui ne manque pas d'arriver : l'équipe première du RP1, en D2, est rattachée au Racing, tandis que la réserve et les équipes de jeunes de l'ex-Paris FC sont renvoyées en quatrième division, sous le nom de Paris FC 83[a 6]. Dans le groupe Nord, le Racing est dernier du classement au mois de janvier, mais le nouvel entraîneur Paul Baron, qui sort de plusieurs années sur le banc de l'AS Saint-Eugène à Alger et de la sélection de l'armée de l'air, dispose de relations qui lui permettent de renforcer sensiblement l'effectif. À la fin des années 1880, le club ciel et blanc s'engage, sous l'impulsion de son secrétaire général Georges de Saint-Clair et aux côtés du Stade français, dans la création de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), une fédération qui fera de la défense de l'amateurisme une de ses priorités[3]. L'équipe termine 3e de son groupe et Hogan repart après une seule saison. Le club renaît dans les années 1980 sous le nom de « Racing Paris 1 » puis de « Matra Racing », sous l'impulsion de l'homme d'affaires Jean-Luc Lagardère, afin de redorer le blason ciel et blanc et de devenir le second grand club de football de la capitale avec le jeune Paris Saint-Germain. Malgré la contenance supérieure du stade de Colombes, le RC Paris, créé en 1932 en tant que section professionnelle de football du Racing Club de France, va plutôt évoluer au Parc des Princes, plus proche de Paris et rénové largement cette année-là (sa capacité se monte alors à plus de 40 000 places), voire au stade Jean-Bouin. 161 J’aime. En dépit de son titre de meilleur club de jeunes de France en catégorie amateur[87], décerné en 2012-2013 par la FFF, le Racing enregistre 5 relégations sportives en 4 ans : 4 pour les équipes seniors et 1 pour les U19 nationaux. Alain de Martigny reste l'entraîneur du club de Lagardère : il fait monter son équipe en première division en 1984, après une victoire en barrage d’accession face à l'AS Saint-Étienne, mais est remercié en milieu de saison suivante alors que les Parisiens pointent au dernier rang en D1. Il est remplacé par son compatriote Peter Farmer, passé notamment par l'Olympique de Marseille et le Torino FC, sélectionneur de l'équipe de France aux Jeux olympiques de 1928. Le Racing foule même la pelouse du Stade de France à l'occasion d'un match de coupe de France contre Monaco, retransmis à la télévision. Le Racing doit ainsi régler ses « problèmes financiers » et le club de Levallois des « problèmes de logistique ». Racing Football Club de Paris-Neuilly, Fondé en 1969. En juin 2011, on apprend qu'il manquerait 180 000 € au club pour continuer à exister et éviter un dépôt de bilan[38]. Après un partenariat de trois ans avec la ville de Levallois-Perret, le club revient en 2012 à Colombes, la ville où il est basé historiquement.
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