Your browser either doesn't support Javascript or you have it turned off. Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Pas une déception ni un triomphe, juste un bon film comme il sait en faire. On connait les combines, on connait les gimmicks et le film ne parvient pas à surprendre malgré son procédé narratif et les facéties de son narrateur. Une mise au point qui nous permet de comprendre où il se situe par rapport à ses débuts et ce degré de lecture n’est pas important tant le médium cinématographique à une place très importante dans le récit du film. Qu’il est jouissif de retrouver Guy Ritchie sur son terrain de jeu favori, aidé par un fabuleux casting qui s’en donne à cœur joie. Nom : The gentlemen Son personnage tire son épingle du jeu avec aisance et même si son rôle n’est pas le plus important, elle parvient à faire impression. Que vaut Gentlemen cambrioleurs avec Michael Caine ? Le film suit son courant sans nous chambouler mais le divertissement est bien au rendez-vous. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Comme son titre l’indique, The Gentlemen a tout d’un film de « mecs », tout le monde peut y trouver son compte dans ce film de gangsters ludique. Date de naissance : 2019 Merci de ne pas les utiliser sans mon autorisation ou sans me citer en tant que source. Les critiques (textes) et articles divers ne sont pas libres de droit (sauf mention d'une source) et proviennent directement de ma petite cervelle. En 2002, une équipe de journalistes d’investigation du Boston Globe dévoile une enquête impliquant des prêtres pédophiles. C’est là que ce situe la grande force de The Gentlemen : son casting. Publié le 02/29/2016 par Kévin Romanet. https://www.culture-tops.fr/critique-evenement/cinemaseries-tv/gentlemen Certains pitchs (synopsis) viennent des sites Wikipédia et/ou Allociné. Et si Ritchie a pu décevoir ses fans de la première heure ces dernières années, autant dire qu’il signe un retour étincelant avec une œuvre qui claque comme un gros coup de cymbale balancée par un batteur déchaîné. : Les anecdotes de cinéma, REVENIR de Jessica Palud : la critique du film, JEU-CONCOURS « LA DERNIÈRE VIE DE SIMON » : Gagnez vos places de cinéma, THE CRAFT - LES NOUVELLES SORCIÈRES de Zoe Lister-Jones : la critique du film, PENINSULA de Sang-ho Yeon : la critique du film [festival de Deauville], MISS de Ruben Alves : la critique du film, ADIEU LES CONS d'Albert Dupontel : la critique du film, ANTOINETTE DANS LES CÉVENNES de Caroline Vignal : la critique du film, PARENTS D'ELEVES de Noémie Saglio : la critique du film, THE GOOD CRIMINAL de Mark Williams : la critique du film, 30 JOURS MAX de Tarek Boudali : la critique du film, DRUNK de Thomas Vinterberg : la critique du film, THE NIGHTINGALE de Jennifer Kent : la critique du film, WONDER WOMAN 1984 de Patty Jenkins : la critique du film, ZACK SNYDER’S JUSTICE LEAGUE : la critique du « Snyder Cut », LA NUÉE de Just Philippot : la critique du film, AVA de Tate Taylor : la critique du film [Netflix], YOU SHOULD HAVE LEFT de David Koepp : la critique du film, L’HOMME QUI A TUE HITLER ET PUIS LE BIGFOOT de Robert D. Krzykowski : la critique du film, PALM SPRINGS de Max Barbakow : la critique du film [Amazon Prime], A propos / Nous contacter / Politique de confidentialité. Je trouves que Guy Ritchie a retrouvé un peu de sa verve, et McConhaughey est vraiment trés bon en « parrain » british, wow j’ai trouvé une excellente source pour regarder des films en ligne sans aucune publicité https://hds-streaming.fun, Si vous cherchez des films pour vous https://voirfilmvf.tv/ alors ce site vous sera utile pour vous permettre de vous familiariser vous ne le regretterez pas du tout. La couleur est annoncée, on se prépare à du pur Guy Ritchie sans filtre. https://lecoindescritiquescine.com/les-critiques/the-gentlemen-de-guy-ritchie Critique : Spotlight – Le plus beau métier du monde. Pour cette critique, c’est mon rédacteur intermittent du spectacle Kingdork qui partage son avis. Guy Ritchie ne chôme pas.