Dans la troisième étape, il déforme le personnage comme dans une hallucination[94], pour en faire l’incarnation d’une idée : Gobseck incarnant la puissance de l’or, le père Goriot étant qualifié de « Christ de la paternité » et César Birotteau de « martyr de la probité commerciale ». ». par Honoré de Balzac. Dans La Cousine Bette, Steinbock est une autre figure d'artiste, mais paresseux et velléitaire et qui n'est capable de créer que des petits objets[n 18]. Dans un article paru dans La Caricature le 16 février 1832, il sait gré aux auteurs des Contes bruns (Philarète Chasles et Charles Rabou), de n’avoir pas utilisé le mot « fantastique » : « programme malsain d’un genre qu’on a déjà trop usé par l’abus du nom seulement[n 6] ». Pour lui, « un roman est plus vrai que l'Histoire[12] » et « les détails seuls constituent désormais le mérite des ouvrages improprement appelés romans[32] ». Balzac a pris ses modèles dans les milieux de la finance de l'époque, qu'il retrouvait dans les salons, notamment le baron de Rothschild, à qui il emprunte parfois de l'argent[109]. Est-ce une de ces qualités dont l’abus mènerait à la folie ? L’auteur trouve des cousinages spontanés à ses personnages et revient en arrière selon une technique que Marcel Proust appelait « l’éclairage rétrospectif[74] » : le passé d’un personnage n’est révélé que longtemps après sa présentation, ce qui lui donne un souffle de vie et un supplément de mystère. He now had good expectations of marrying Éveline, but there were many obstacles, not the least being his inextricable indebtedness. La vicomtesse de Beauséant — dont on voit le triste échec dans La Femme abandonnée — aura été une séductrice tout au long de La Comédie humaine. ». L'idée de créer un cycle romanesque dont l'unité serait assurée par le retour de nombreux personnages d'un roman à un autre a ouvert une voie que de nombreux auteurs reprendront par la suite. Dès 1834, Balzac conçoit la structure de la Comédie humaine comme un édifice en trois parties : « à la base de l'édifice : les Études de mœurs représentent les effets sociaux. Il est hasardeux de suivre le classement proposé par Balzac, qui a largement évolué. Doué du génie de l'observation, Balzac a créé des types humains saisissants de vérité. Il n’est pas inutile de peindre ce bazar ignoble ; car, pendant trente-six ans, il a joué dans la vie parisienne un si grand rôle, qu’il est peu d’hommes âgés de quarante ans à qui cette description, incroyable pour les jeunes gens, ne fasse encore plaisir[181]. Victimes d'une ambition démesurée, certains génies confinent à la folie, tels le musicien Gambara et le peintre Frenhofer. Encore jeune homme, celui-ci se flatte d’avoir lu tout Balzac dès l’âge de seize ans et il fait ses premiers pas en littérature, en traduisant, en 1843, en russe, Eugénie Grandet, roman qui va lui inspirer Les Pauvres Gens[242]. Ça formera 40 volumes. Elles sont axées sur les passions, qui sont le moteur de l'action humaine : « Si la pensée, ou la passion, qui comprend la pensée et le sentiment, est l’élément social, elle en est aussi l’élément destructeur[9]. Autour de son nom, c'est un concert et comme une émulation universelle de louanges[228]. Le féminin et le masculin peuvent aussi se combiner en s'abolissant de façon inquiétante et contagieuse dans la figure de l'hermaphrodite représentée dans Sarrasine, dont les deux personnages principaux, le sculpteur Sarrasine et la prima donna Zambinella, offrent une lecture en miroir de leurs initiales S et Z[124],[n 14]. En 1834, lors de la rédaction du Père Goriot, Balzac éprouve son intuition fondamentale en découvrant qu'il n'y a pas de sujet indigne de la littérature et qu'un auteur doit embrasser la totalité du réel, y compris dans ses détails les plus laids ou les plus bas, toutes les classes sociales pouvant fournir des personnages de roman[6]. Pierre-Georges Castex, Roland Chollet, René Guise et Christian Guise, Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, Fondation de la Société des gens de lettres, Un homme d’affaires (Esquisse d’homme d’affaires d’après nature), La Décade philosophique, littéraire et politique par une société de républicains, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=La_Comédie_humaine&oldid=181137390, Page utilisant une présentation en colonnes avec un nombre fixe de colonnes, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Littérature française ou francophone/Articles liés, Portail:Littérature française/Articles liés, Portail:France au XIXe siècle/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Monarchie de Juillet/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Études de mœurs, Études analytiques, Études philosophiques, Ébauches rattachées à, L'ancien lieutenant-colonel des dragons de la Garde, Le commandant Genestas : il a servi en Égypte, à, Le comte Mignon de la Bastie, le père de Pauline dans, Max Gilet : engagé à 17 ans en 1806, il sert en Espagne et au Portugal, est prisonnier de 1810 à 1814 et il rallie Napoléon à son retour, devenant capitaine des grenadiers de la Garde à Waterloo, ce qui est équivalent au grade de commandant. Balzac est fortement influencé par Hoffmann qu’il est le premier à faire paraître dans la Revue de Paris en 1829[47]. Pour Balzac, le système de la Société est comparable au système de la Nature et peut aussi bien être analysé ; c'est là l'objectif de La Comédie humaine, que Balzac se propose d'atteindre grâce à une construction en trois parties. Il a créé un « univers non manichéen », où l'amour et l'amitié tiennent une grande place, et qui met en lumière à la fois la complexité des êtres et la profonde immoralité d'une mécanique sociale où les faibles sont écrasés tandis que triomphent le banquier véreux et le politicien vénal[31]. » En somme : « Qui de nos jours est soucieux d’aller s’enterrer en des Arrondissements où le bien à faire est sans éclat ? Balzac montre la difficulté de lutter contre les procédures collectives frauduleuses et rédige, avec l'expertise d'un avocat véreux, des clauses de contrat qui permettront de dépouiller l'abbé Birotteau de son mobilier[n 19] ou de faire main basse sur les tableaux de Sylvain Pons[n 20]. Although some characters appear in many of the novels, they can be read in any order. Hors de France, le pays de prédilection est l'Italie, qui a beaucoup inspiré Balzac, notamment Venise (Massimilla Doni), Rome (Sarrasine) et Ferrare (L'Élixir de longue vie). D'autres personnages plus grands que nature se distinguent par leur volonté de puissance et leur capacité d'influer sur les événements et la société, tel Vautrin, le forçat évadé aux multiples incarnations : Jacques Collin, Carlos Herrera, M. de Saint-Estève, William Barker. Picasso illustrera d'ailleurs une édition de luxe de cette nouvelle en 1931[145]. Balzac en est blessé et dit avoir « supporté tout ce que pouvaient les auteurs contre un des leurs[225] ». La vision en est le plus souvent négative. Maîtrisant l'art du mélange des voix dans le récit, il sait faire entendre le ton propre à des personnages de divers milieux[200]. Carey Taylor, « Balzac et l'Angleterre ». C'est peut-être ce contraste entre misère et grandeur qui séduira Charles Dickens et Fédor Dostoievski, deux écrivains qui font, eux aussi, évoluer leurs personnages dans des villes-labyrinthes, du ruisseau aux palais[133]. ⇒ LIRE L'INTÉGRALITÉ DE LA COMÉDIE HUMAINE EN LIGNE, Tous droits réservés © 2021 Paris Musées - Maison de Balzac, Couverture de la 7ème livraison de La Comédie humaine, Épreuve corrigée du sonnet "La Pâquerette", Affichette de l'édition Houssiaux de La Comédie humaine, Épreuve corrigée d'Illusions perdues avec préface à Victor Hugo, Manuscrit pour la préface du Cabinet des antiques, Généalogie des personnages de La Comédie humaine, Découvrez nos collections en ligne en cliquant ici, Découvrez les activités à faire en ce moment au musée. 2 Pages • 722 Vues. Il écrase tout le siècle. ». Créateur du roman moderne, Balzac veut décrire la totalité du réel et s'intéresse à des réalités jusque-là ignorées en littérature, parce que laides ou vulgaires. On peut en juger par cette description d'une tireuse de cartes : « C’était une face desséchée où brillaient deux yeux gris d’une immobilité fatigante ; un nez rentré, barbouillé de tabac ; des osselets très-bien montés par des muscles assez ressemblants, et qui, sous prétexte d’être des mains, battaient nonchalamment des cartes, comme une machine dont le mouvement va s’arrêter. Les naturalistes reconnurent (à tort) en lui un ancêtre, bien que Zola crut discerner “une fêlure du génie” dans la politique et la mystique de Balzac. La Comédie Humaine D’Honoré de Balzac La Comédie humaine est un ensemble d’ouvrages d'Honoré de Balzac de 137 œuvres comprenant 95 romans, nouvelles, essais réalistes,. Thackeray est très critique, même si son roman Vanity Fair présente bien des ressemblances avec La Cousine Bette[246]. Puis, après les effets et … Il reproduit occasionnellement les particularités dialectales, tels le patois de Schmucke ou de Nucingen[n 27], ou des expressions argotiques, mais il s'agit là de « tentatives superficielles et intermittentes » et « les voix du dialogue s'effacent devant la grande voix du récit […] du narrateur omniscient[201] ». […] Presque autant vaudrait, dans un drame, nous donner la biographie détaillée, passée et future, de chacun des comparses. Je les grandis, je les idéalise, en sens inverse, dans leur laideur ou leur bêtise. Au catalogue des publications mondiales, les œuvres de Balzac sont parmi les plus souvent éditées de la littérature française[n 34]. », « Elle le revit en 1816, tombé de neuf mille francs environ d’appointements que recevait un commandant des Dragons de la Garde Impériale à une demi-solde de trois cents francs par mois », « le célèbre général Hulot, colonel des grenadiers de la Garde impériale, que l'Empereur avait créé comte de Forzheim, après la campagne de 1809, « le lieutenant général Hulot , le vénérable commandant des grenadiers à pied de la Garde impériale, à qui l'on devait donner le bâton de maréchal pour ses derniers jours, « cette haute taille exigée pour les cuirassiers de la Garde impériale dont le bel uniforme rehaussait encore sa prestance, encore jeune malgré l'embonpoint qu'il devait à l'équitation », « Montcornet a commandé les cuirassiers au combat d'Essling, « un ancien maréchal-des-logis-chef aux cuirassiers de la Garde, un homme de ceux que les troupiers appellent soldatesquement des durs à cuire », « Au Soleil d'or, auberge tenue par Mitouflet, un ancien grenadier de la Garde impériale, qui avait épousé une riche vigneronne », « ce noble débris de nos glorieuses armées », « J’ai tâché de donner une idée des différentes contrées de notre beau pays. Il dénonce dans Pierrette les dysfonctionnements de la justice criminelle et met en scène la comédie du procès pénal dans Une ténébreuse affaire[159]. Toutes les inventions humaines procèdent d'une observation analytique dans laquelle l'esprit procède avec une incroyable rapidité d'aperçus. Balzac a aussi des admirateurs enthousiastes, tels Thomas Hardy et Oscar Wilde[246]. C'est grâce à l'honnêteté, à l'intelligence et au désintéressement de ces personnages, placés à des postes clés, que la société peut survivre selon Balzac[151]. Il corrige encore son texte quand il est imprimé, comme on peut le voir dans la page reproduite ci-contre. La Comédie Humaine fait une place notable aux dragons de la Garde impériale : Outre les dragons, il y a les grenadiers de la Garde impériale : Enfin, il y a les cuirassiers de la Garde impériale : L’œuvre présente encore de nombreux personnages au parcours militaire plus indéterminé ou qui ne sont parfois que des silhouettes comme : Balzac ne choisissait pas au hasard les lieux de ses intrigues. Quelques années avant Marx, Balzac a saisi l'importance de l'argent dans la société de son époque et il décrit en romancier ce que l'économiste disséquera dans Le Capital[125]. eBalzac propose une nouvelle édition de La Comédie humaine dans la version du « Furne corrigé ». Paris, qui façonne n'importe quel protagoniste arrivant de sa province, tels Lucien de Rubempré ou Rastignac, est un personnage presque autonome, qui vit, qui respire, qui agit : « Il est dans Paris certaines rues déshonorées autant que peuvent l'être un homme coupable d'infamies ; puis il existe des rues nobles, puis des rues simplement honnêtes, puis de jeunes rues sur la moralité desquelles le public ne s'est pas encore formé d'opinion, puis des rues assassines, des rues plus vieilles que de vieilles douairières ne sont vieilles[177]. Si, par hasard, on y case des ambitieux étrangers au pays, ils sont bientôt gagnés par la force d’inertie, et se mettent au diapason de cette atroce vie de province[185]. Est-ce une de ces qualités dont l’abus mènerait à la folie ? Il a produit une œuvre qui a servi de référence à son siècle et au siècle suivant, et donné ses lettres de noblesse au roman. La plupart de ses liaisons féminines sont également reconnaissables, de façon transposée. » Le 29 mai 1867, il écrit à un correspondant : « Avez-vous lu tout Balzac ? Read More on This Topic Honoré de Balzac: La Comédie humaine Habitués à feindre beaucoup d’intérêt pour les personnes auxquelles ils parlent, les notaires finissent par faire contracter à leur figure une grimace qu’ils revêtent et quittent comme leur pallium officiel[88]. Pourquoi les entreprises font fuir les meilleurs, La comédie (in)humaine, Nicolas Bouzou, Julia de Funès, L'observatoire Eds De. M. de Talleyrand surtout[118] ». En Espagne, ce n'est qu'avec Benito Pérez Galdós que la réputation de Balzac se répand dans le public[245]. Si la France lui demeurait fermée, il était libre d’inonder la Belgique, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie et même la Russie. Tout en reconnaissant que le roman doit plaire, Balzac refuse l'art gratuit et considère qu'il a pour mission de « faire penser[136] ». À la différence du mystique, toutefois, qui veut disparaître dans la contemplation de Dieu, Balzac cherche plutôt à posséder le monde, à acquérir la puissance et « ravir à Dieu son secret[62] ». ». Elle donne naissance au roman moderne et définit les modes de pensée et la nature morale des individus. De toute évidence, il ne croit pas à la capacité des lois de moraliser la société, car la loi la mieux intentionnée ne manque pas de susciter des effets pervers et d'aiguiser les « fourberies de l'esprit[160] ». La Comédie humaine englobe les romans déjà écrits à cette date - environ soixante-dix depuis 1829 - et une vingtaine d'autres conçus ultérieurement dans ce cadre. Un nouveau décret en date du 20 juin 1864 condamne tous les écrits de Balzac, qui resteront interdits jusqu'en 1900[220]. Avec le temps, l'entreprise gagne en grandeur et se détache de la sentimentalité qui imprégnait encore par endroits les premiers romans. Il est possible d'accéder à cet état de voyance grâce au rêve et au somnambulisme magnétique. Il a en effet, depuis qu'il est mort une rare bonne fortune. Comme Raphaël dans La Peau de chagrin, chacune de ses œuvres lui demande un effort si considérable qu’elle rétrécit inexorablement son existence. Il envisage donc de répartir ses romans en trois grandes sections, ainsi qu'il l'expose dans une lettre de 1834 à Ewelina Hańska : « Je crois qu’en 1838, les trois parties de cette œuvre gigantesque seront, sinon parachevées, du moins superposées et qu’on pourra juger la masse […]. Signe de l'importance qu'il accorde à l'économie, Balzac décrit avec précision les agissements des milieux d'affaires, de la spéculation et de la haute banque, un monde qu'il assimile, dans La Fille aux yeux d'or, au troisième cercle de l'enfer de la Divine Comédie[107]. Pour l'âme, comme pour le corps, un détail mène logiquement à l'ensemble[13]. Pour Albert Béguin, « il ne s'agit nullement de peindre la réalité courante, mais au contraire d'en pousser tous les détails à l'hyperbole, de contraindre un spectacle quotidien à se métamorphoser en vision[38]. La Comédie humaine est le titre sous lequel Honoré de Balzac a regroupé un ensemble de plus de quatre-vingt-dix ouvrages — romans, nouvelles, contes et essais — de genres réaliste, romantique, fantastique ou philosophique, et dont l’écriture s’échelonne de 1829 à 1850. La comédie humaine regroupe des grands thèmes dont certains encore actuels aujourd’hui, tel que l’argent. Comme un peintre prend du recul pour mieux voir son tableau, il ajoute une touche pour donner plus de relief à l’œuvre. Victor Hugo et les autres, pour moi, s’effacent devant lui[235]. Quel homme ! En Allemagne, il est très tôt accueilli avec enthousiasme mais son étoile faiblit par la suite, et il faudra attendre Curtius, Hoffmansthal et Stefan Zweig pour qu'il soit reconnu à nouveau[244]. Dès 1834, Honoré de Balzac prend la tête du mouvement avec sa célèbre Lettre aux écrivains français du XIXe siècle. Il dépouille aussi des ouvrages de sociologie sur le monde de la prostitution. En octobre 1843, de retour d'une visite à Mme Hańska, il fait un crochet par Dresde afin de prendre des notes en vue d'une description de la bataille qui s'y est déroulée[194]. Pour décrire le milieu de la pègre et les opérations de la police dans Splendeurs et misères des courtisanes, il lit les mémoires de Vidocq et ceux de Fouché. Les figures principales du monde balzacien correspondent à des types humains que l’on verra reparaître souvent, formant des portraits de groupes dans un chassé-croisé savant de financiers, de médecins, de politiciens et de courtisanes ou de femmes du monde[n 8]. Réunions interminables, séminaires sportifs, inflation des process : l’entreprise est devenue le lieu de l’absurde. Retrouvez La comédie (in)humaine et des millions de livres en stock sur Amazon.fr. Hugo est aussi peut-être dans La Cousine Bette, le couple Hulot pouvant être une transposition du ménage de Victor Hugo (Hector Hulot) et d’Adèle Foucher (Adeline Fischer)[n 12]. Les études de mœurs. Ces ébauches, pour la plupart limitées à quelques pages, voire quelques lignes, et dont plusieurs connaissent divers faux départs, permettent de reconstituer le parcours littéraire de Balzac et d’en éclairer les zones d’ombre. En dépit de l'opposition de l'Église, cette œuvre devient très vite un phénomène d'imprimerie et obtient un immense retentissement en France et en Europe, influençant profondément le genre du roman. Conscient du danger, et bien avant l'apparition d'un dictionnaire de ses personnages, Balzac avait établi un modèle de fiche au sujet de Rastignac pour mieux suivre son évolution[76]. La Touraine et les pays de la Loire occupent une place de choix[n 21]. Le romancier William Faulkner revendique Balzac comme l'une de ses influences majeures, affirmant qu'il relisait « certaines œuvres de Balzac presque chaque année »[248] et admirant la création d'un « monde unique qui lui est propre, un courant de vie qui s'épanche à travers une vingtaine de livres »[249].
Ensemble Homme Classe,
Phrase Tatouage Sur La Force Latin,
2eme Dauphine Miss France 2018,
Salaire Liverpool 2021,
Parodie Chanson Il Changeait La Vie,
Celtics Joueurs 2018,
Florent Pagny A Capella,
Mod Pack The Dream,